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mercredi 24 novembre 2021
Parce qu’on en a besoin, retrouvez, du lundi au vendredi, notre sélection d’articles pour s’évader, se faire plaisir, s’amuser...

Faire la paix avec la nature. Telle était l’invitation du 17e Mobile Film Festival, à laquelle ont répondu des apprentis cinéastes du monde entier. Fictions, documentaires… cinquante films d’une minute, réalisés avec un simple téléphone portable, ont été sélectionnés, avec l’objectif qu’ils soient largement diffusés, afin de sensibiliser aux questions environnementales. Découvrez par exemple Au village, de Djibril Bâ et David Solon, You can’t eat your money, de Kiarash Ardeshirpour, Oscar, de Karine Durac, et votez, si le coeur vous en dit, pour le Prix du public. Il sera remis le 9 décembre, avec neuf autres récompenses et autant de subtantielles aides à la création.

Pierre Arditi : « Je ne pensais pas pouvoir être acteur. J’avais peur de me colleter à ce qui allait devenir ma vie. Je me suis donc réfugié aux Assurances générales, sous les engueulades de mon père et de ma sœur. Pour eux, c’était comme si je couchais avec des nazis ! Pendant un an, moi, le fils d’intellectuels de gauche fauchés, j’ai ainsi découvert le monde du travail, le vrai. Puis, je me suis fait un peu plus confiance, et je me suis souvenu à quel point la scène des Trois Baudets était ce dont je rêvais secrètement. Quand ma sœur m’a traîné dans le cours de théâtre de Tania Balachova, j’ai accepté. »

Entretien

icon abonnéPierre Arditi : « J’ai mis toute ma vie dans ma valise d’acteur »

« Je ne serais pas arrivé là si… » Chaque semaine, « Le Monde » interroge une personnalité sur un moment décisif de sa vie. Le comédien raconte avoir vécu son « premier choc de spectacle » aux Trois Baudets, où son père, peintre, réalisait des décors : « Il a fabriqué l’artiste, ma mère a fabriqué l’homme. »

Actor Pierre Arditi poses during Film Festival fo Valenciennes, France, on sept 27th, 2021. (Photo by SYLVAIN LEFEVRE / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP)

Propos recueillis par Denis Cosnard

icon abonnéAvec la reprise, le nouvel horizon du plein-emploi

Alors que le taux de chômage reflue vers les 7 % de la population active, l’exécutif croit possible une baisse plus importante.

People listen to French President Emmanuel Macron give a TV address to the nation on French TV at a bar, in Lille northern France, Tuesday, Nov 9, 2021. Macron issued a mass appeal Tuesday for people to get booster shots to fight rising virus infections that are raising concerns across Europe. (AP Photo/Michel Spingler)

Bertrand Bissuel

Une forêt a poussé sur des cailloux : au Niger, la Grande Muraille verte avance à petits pas

Ce projet pharaonique de l’Union africaine vise à restaurer 100 millions d’hectares de terres arides sur une bande de 8 000 km de long allant du Sénégal à Djibouti.

A man walks through the Great Green Wall site in Simiri, about 100km north of Niamey, on November 13, 2021. - The Great Green Wall (GGBW) is a Pharaonic project of the African Union, which aims to restore 100 million hectares of dry land in Africa by 2030, along an 8,000 km strip stretching from Senegal to Djibouti, including Mauritania, Mali, Burkina Faso, Niger, Nigeria, Chad, Sudan, Eritrea and Ethiopia.
The Niger part of the Great Green Wall is mainly made up of Acacia (white gum) and Bauhinia trees, two very drought-resistant species that can reach heights of twelve metres. (Photo by BOUREIMA HAMA / AFP)

Chronique

icon abonnéEt si la contraception était aussi l’affaire des hommes ?

Grand impensé de nos sociétés aux réflexes patriarcaux tenaces, la contraception masculine a pourtant été à l’ordre du jour dans les années 1980. Elle revient sur le devant de la scène, entre opération, slip chauffant et méthode hormonale.

Nicolas Santolaria

Enquête

icon abonnéLes étranges pouvoirs de la transe sur le cerveau étudiés à l’université

L’université Paris-VIII propose, à partir du 22 novembre, des cours d’introduction aux « transes et états de conscience modifiés » destinés aux professionnels de santé. Cette première mondiale doit beaucoup au travail d’une Française, Corine Sombrun, initiée chez les chamans de Mongolie.

Annick Cojean

Enquête

icon abonnéGuide gastronomique : le Fooding se met au vert

L’édition 2022 du très parisien guide gastronomique fait la part belle aux adresses provinciales. Et acte un mouvement de fond chez les jeunes chefs qui fuient Paris pour une meilleure qualité de vie.

l’Auberge de la roche.

Léo Pajon

Critique

« Bonne nuit Blanche », sur Comédie+ : l’humour cru, cruel et jubilatoire de Blanche Gardin

Avec sa liberté de parole, l’humoriste poursuit, dans son troisième seule-en-scène, son monologue désenchanté et jouissif de quadra célibataire.

Blanche Gardin

Sandrine Blanchard

« Exo One », coup de cœur pour une rêverie spatiale et planante

Développé par un minuscule studio australien, ce jeu vidéo nous fait découvrir, en contrôlant une grosse bille, l’univers entre petits pas et bonds de géant

Exo One

Corentin Lamy

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This photo taken on November 18, 2021 shows people taking part in the Tazaungdaing festival, also known as the Festival of Lights, at the pagoda in Mrauk U in Myanmar's Rakhine state. (Photo by AFP)

En Birmanie, les bouddhistes de Mrohaung, dans l’Etat de Rakhine, ont célébré Tazaungdaing, la pleine lune qui marque la fin de la saison des pluies. L’ouest de la région est relativement épargné par les affrontements entre la junte et les groupes armés qui dénoncent le coup d’Etat militaire du 1er février, permettant la tenue de cette fête des lumières habituellement ponctuée de spectacles, de feux d’artifices et de lancers de lanternes et de montgolfières. A Ponnagyun, des milliers d’intrépides ont renoué avec la tradition qui consiste à gravir la Montagne aux 500 canards, gardée par un esprit (nat) vénéré. (Photo AFP)