| | | | | Parce qu’on en a besoin, retrouvez, du lundi au vendredi, notre sélection d’articles pour s’évader, se faire plaisir, s’amuser... | | | |  | | « J’avais dessiné, sur le sable… » Cette plongée dans l’art éphémère, celui qui vous remplit d’émotion parce que c’est à la fois si beau et si fragile, vous est offerte aujourd’hui par le Fil Good… comme ce ratissage de jardin zen, quinze minutes d’intense concentration sur les lignes qui se créent et se défont ; ou les œuvres d’artistes « de sable », qui vivent le temps d’une marée : celles de JBen à voir ici, celles des participants au Beach Art Festival là, ou encore celles de Sam Dougados. Un râteau, de la patience, et lancez-vous ! | | | | | Au départ, voici une petite fille qui, une nuit de juillet 1969, alors qu’elle n’a pas encore 6 ans, regarde à la télévision, en compagnie de sa mère, Apollo-11 se poser sur la Lune : « Assise sur ses genoux, j’ai montré du doigt les silhouettes fantomatiques de Neil Armstrong et Buzz Aldrin descendant l’échelle du module lunaire et je lui ai dit : “C’est ce que je veux faire”. » Aujourd’hui, son objectif est d’étudier la résilience de la vie et son adaptation à des milieux fort inhospitaliers, et aussi d’apprendre à détecter les « biosignatures » des micro-organismes, les traces fossiles ou chimiques qu’ils peuvent laisser dans les archives géologiques, pour guider ensuite les explorateurs de Mars – robotisés aujourd’hui, humains demain – vers les terrains les plus favorables. | | | Portrait | |  Nathalie Cabrol, les pieds sur Terre, le cœur sur Mars L’astrobiologiste française, exploratrice et naturaliste née, a fait carrière à la NASA. Elle y a notamment porté un projet original d’étude de la Planète rouge depuis des sites extrêmes en Amérique du Sud. |  | | Pierre Barthélémy | | | | | Décryptages | | Nobel d’économie 2021 : le triomphe de l’expérimentation face à la théorie Le prix de la Banque de Suède a été décerné à trois des pères fondateurs de méthodes visant, par l’expérience, à évaluer les effets des politiques publiques en matière d’emploi et d’éducation. |  | | Antoine Reverchon | | | Podcast | | Les micronations, laboratoires de la démocratie Comment les micronations, territoires qui se proclament Etats sans qu’ils soient reconnus officiellement, portent-elles des préoccupations sociales et environnementales ? Dans ce podcast, Marie-Béatrice Baudet, grand reporter au « Monde », nous raconte les ambitions de leurs créateurs. |  | | Esther Michon | | | Carte Blanche | | Sourire suffit parfois à nous rendre heureux Des recherches sur le lien entre expression faciale et émotions montrent que nos mimiques peuvent influencer notre ressenti, raconte la neuropsychologue. |  | | Sylvie Chokron | | | La marque Aigle rapatrie la fabrication de bottes en France En dépit de difficultés à recruter, l’entreprise de mode veut augmenter sa production dans l’usine d’Ingrandes-sur-Vienne. |  | | Juliette Garnier | |  | | | | Chronique | | Sexualité : sens et décence de l’initiative au féminin Le constat est connu : les femmes peinent à s’emparer du rôle érotique actif. Maïa Mazaurette, chroniqueuse de « La Matinale », livre quelques pistes pour expliquer et dépasser cette « réserve » féminine. |  | | Maïa Mazaurette | | | Témoignages | | Suzanne Grimal : « Faire à manger, c’est aussi communiquer, penser à l’autre » Après avoir fait carrière dans la banque, Suzanne Grimal a cofondé Douze, un concept qui associe magasin de producteurs et restauration, dans une ancienne caserne du 12e arrondissement à Paris. |  | | Camille Labro | | | Reportage | | Estuaire de la Gironde : balade entre îles et vignes Dans le plus long estuaire d’Europe de l’Ouest, deux rives se font face. L’une ouvre sur les marais et les dunes du Médoc, l’autre sur les coteaux du Blayais et une des plus belles citadelles Vauban. |  | | Hubert Prolongeau | |  | | S’abonner | | | Ecrivez-nous Vous avez des idées, des suggestions pour échapper à une actualité anxiogène ? Ou tout simplement envie de partager vos impressions et sentiments ? Ecrivez-nous à l’adresse filgood@lemonde.fr | | | |  | | Il y a quelqu’un ? Le mythe du labyrinthe traverse toutes les civilisations et toutes les croyances. Chemin complexe vers une divinité, tours et contours de la psyché, symbole de confusion vaincue par une issue heureuse malgré les embûches, c’est aussi un formidable terrain de jeu graphique. Les artistes s’en saisissent, les agriculteurs créent dans leurs champs des formes piégeuses plus ou moins éphémères, les jardiniers en dessinent de très complexes - qui font la fortune des tailleurs de haies. Ici, c’est en Allemagne, à Bautzen, que ce labyrinthe entremèle diaboliquement, depuis presque trente ans, ses allées dans un carré de 51 mètres de côté proposant… 30 720 itinéraires différents pour rejoindre son centre. De ce point d’arrivée, une passerelle permet, tout en admirant d’en haut cet art verdoyant, de s’en évader enfin ! (Sebastian Kahnert/AP) | | | |  |  | |
