| | Parce qu’on en a besoin, retrouvez, du lundi au vendredi, notre sélection d’articles pour s’évader, se faire plaisir, s’amuser... | | | Passer la nuit dans l’échauguette | Quel est le point commun entre Quintin (Côtes-d’Armor), Vidauban (Var), Belœil (Hainaut, Belgique), Coppet (canton de Vaud, Suisse) ou Carrion de los Condes (Castille-Leon, Espagne) ? Tous ces endroits, dans quatre pays européens, abritent un édifice royal. Samedi 23 octobre, la troisième édition de la Nuit des châteaux vous permettra de visiter, de nuit, ces monuments historiques, parmi d’autres. Conteurs, visites costumées, banquets, concerts… ou simplement candélabres et clair de lune donnent une saveur particulière à l’événement. Les recettes de l’opération seront à 90 % utilisées pour l’entretien de ces bâtiments. Au-delà des « célébrités » (Chenonceau, Bonaguil, Dampierre…), plusieurs centaines de lieux ouvrent leurs portes. Ils n’attendent plus que vous. | | | La culture de tomates cerises sur balcon a ses limites. Comme la force physique, le temps, le savoir-faire ou l’envie de cultiver. Bref, l’intérêt du troc – bout de parcelle contre part de récolte – saute aux yeux. Depuis mars, Maria et Julie cultivent de concert la foisonnante parcelle exposée sud qui s’étale devant la maison de Maria, à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Il y a sept mois, elles ne se connaissaient pas. | | Enquête | Bout de parcelle contre part de récolte : le potager mutualisé en pleine éclosion Des sites mettent en relation des propriétaires de lopin de terre et des jardiniers amateurs en manque de terrain. En ville, la mise en commun du potager se ramifie. | | Pascale Krémer | | | Décryptages | A Paris, le vélo pourrait détrôner la voiture dès 2025 La Mairie entend consacrer 250 millions d’euros en six ans au développement des pistes cyclables et à d’autres mesures favorables à la petite reine. | | Denis Cosnard | | Suspendu à l’été 2019, le « train des primeurs » Perpignan-Rungis relancé Ce train, qui transporte des fruits et légumes méditerranéens de Perpignan au marché de Rungis, a été relancé, vendredi, par le premier ministre, Jean Castex. | | | | La prime à la conversion automobile et le bonus écologique maintenus jusqu’en juillet La prime à la conversion pour l’achat d’un véhicule peu polluant sera maintenue jusqu’à 5 000 euros et le bonus à l’achat de véhicules électriques ou hybrides jusqu’à 6 000 euros, a précisé la ministre de la transition écologique. | | | | Sobriété, efficacité et renouvelables : le scénario de négaWatt pour atteindre la neutralité carbone L’association présente les grandes lignes de la 5e édition de ses travaux prospectifs, qui prévoient la fermeture du dernier réacteur nucléaire en 2045. | | Perrine Mouterde | | | | Critique | « Les Baguettes chinoises. Comment peut-on être Chinois ? » Patrick Boucheron, apprenti sourcier pour Arte Entre le suaire de Turin et la redingote de Napoléon, le magazine « Faire l’histoire » s’intéresse à l’ustensile de cuisine chinois devenu emblématique. | | Renaud Machart | | Chronique | Cinq idées reçues sur le sauternes Une robe d’or cantonnée aux repas de fête, une consommation en chute libre… Pour contrer le désamour dont il est l’objet, le breuvage liquoreux se met au régime sec. | | Ophélie Neiman | | Critique | Exposition : Edgar P. Jacobs, le dessinateur qui révolutionna la BD « Le Secret des Espadons », à Bruxelles, célèbre le père de « Blake et Mortimer », obsessionnel du détail qui osa aborder les horreurs de la guerre dans la bande dessinée. | | Cédric Pietralunga | | | S’abonner | | Ecrivez-nous Vous avez des idées, des suggestions pour échapper à une actualité anxiogène ? Ou tout simplement envie de partager vos impressions et sentiments ? Ecrivez-nous à l’adresse filgood@lemonde.fr | | | | Pendant ce temps-là, dans le désert d’Atacama… Dans le nord du Chili (Amérique du Sud), une étendue de sable, de gravier et de matériaux volcaniques provenant des Andes couvre une superficie de 200 000 kilomètres carrés. C’est l’un des déserts les plus secs du monde, même si ses températures sont relativement peu élevées en raison de son altitude moyenne de 900 mètres. Les précipitations y sont tellement faibles qu’elles ne sont pas mesurables. Pourtant, tous les cinq à sept ans, entre août et novembre, des millions de fleurs peuvent sortir de terre et métamorphoser le paysage : d’immenses tapis de fleurs blanches, jaunes, bleues, rouges, mauves et orange s’étalent alors à perte de vue. Sous le sol extrêmement aride, des bulbes et des rhizomes sont en dormance, pendant des décennies s’il le faut, et attendent le moment propice pour fleurir. Il suffit alors que les rares précipitations dépassent un certain seuil et la germination éclate littéralement en quelques heures. (PABLO SANHUEZA/REUTERS) | | | | | |