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jeudi 21 octobre 2021
Parce qu’on en a besoin, retrouvez, du lundi au vendredi, notre sélection d’articles pour s’évader, se faire plaisir, s’amuser...
Feuilles, paillis, compost

L’automne est propice à prendre soin de ses plantes d’extérieur et de son empreinte écologique. On peut utiliser épluchures, feuilles mortes, brindilles coupées en morceaux ou fougères ramassées en forêt pour créer un paillis, et ainsi fertiliser le sol tout en protégeant les racines des frimas à venir. On peut aussi créer un compost, où les feuilles mortes équilibreront l’apport de déchets verts. De plus en plus de collectivités proposent composteur ou lombricomposteur, gratuitement comme le Grand Lyon ou pour 10 euros à Aix-Marseille. Prêt à vous lancer ? Voici des conseils de l’Ademe et du podcast « Bons plants », des ateliers à Montauban, à Artigues-près-Bordeaux, à Carentan, à Saint-Paul (La Réunion). Quant aux Parisiens, ils peuvent participer aux collectes de déchets alimentaires.

Fils d’immigrés algériens analphabètes grandi dans un bidonville de Villeurbanne, Azouz Begag est devenu professeur de sociologie, auteur à succès avec Le Gone du Chaâba – trois millions d’exemplaires écoulés et une vingtaine de traductions depuis 1986 –, ministre de l’égalité des chances sous la présidence de Jacques Chirac. Retiré de la politique, il a créé une association pour promouvoir le vote obligatoire, qui serait, selon lui, « le moyen de faire entrer la notion de citoyenneté partout dans les immeubles. Aux dernières élections, 90 % des jeunes de banlieue n’ont pas voté, on ne peut pas les laisser sur le côté ».

Portrait

icon abonnéUn apéro avec Azouz Begag : « Pour beaucoup, j’étais le Zidane de la politique »

Chaque semaine « L’Epoque » paie son coup. Ancien ministre à l’égalité des chances, en 2005, l’écrivain et sociologue garde une détestation tenace pour Nicolas Sarkozy. Revenu à la littérature, sans renouer avec le succès de son « Gone du Chaâba », il dit écrire en souvenir de « ses parents ouvriers agricoles et analphabètes ».

Azouz Begag est un homme politique français, écrivain et chercheur en économie et en sociologie. Il a été ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances de 2005 à 2007 dans le gouvernement de Dominique de Villepin. Begag est photographié au Train Bleu, dans la gare de Lyon à Paris. Photo © Ed Alcock / M.Y.O.P. 13/9/2021 Azouz Begag is a French politician, writer and researcher in economics and sociology. He was Minister Delegate for the Promotion of Equal Opportunities from 2005 to 2007 in the Dominique de Villepin government. Begag is photographed at Le Train Bleu, in the Gare de Lyon train station in Paris. Photo © Ed Alcock / M.Y.O.P. 13/9/2021

Vanessa Schneider

Fragments de France

icon abonnéIkastola, l’école où l’on grandit en basque

Il est loin le temps où certains politiques en parlaient comme de « fabriques de terroristes ». Aujourd’hui, les écoles d’enseignement en basque ont su gagner leurs lettres de noblesse auprès de la population locale et, de plus en plus, auprès des nouveaux arrivants dans la région.

L’ikastola de Bardos est située en pleine campagne, dans une maison individuelle, aménagée en école. Les 4 petits écoliers sont les derniers inscrits des 4064 élèves du réseau. Bardos, le mardi 7 septembre 2021..

Corinne Frilet et Axelle de Russé

Enquête

icon abonnéL’intelligence artificielle, génie de la biologie moléculaire

La société DeepMind, filiale de Google, a mis au point un programme qui établit avec une justesse inégalée la structure tridimensionnelle des protéines. Une révolution conceptuelle qui va accélérer la recherche biomédicale.

Protein molecules,computer artwork

David Larousserie

Facebook va rémunérer une partie de la presse française au titre des « droits voisins »

Ce droit d’auteur réservé à la presse, né d’une directive européenne, avait fait l’objet d’un contentieux entre l’alliance chargée d’y veiller et Google.

(FILES) In this file illustration photo taken on April 07, 2021, a smart phone screen displays the logo of Facebook on a Facebook website background in Arlington, Virginia Facebook critics pounced on October 20, 2021, on a report the leading social network plans to rename itself, arguing it may be seeking to distract from recent scandals and controversy. The report from website The Verge, which Facebook refused to confirm, said the embattled company was aiming to show its ambition to be more than a social media site. (Photo by OLIVIER DOULIERY / AFP)

Critique

icon abonnéExposition : Georgia O’Keeffe au-delà des modes

Le Centre Pompidou à Paris accueille la première grande rétrospective consacrée à la peintre américaine, qui ne s’est laissé cataloguer dans aucun genre.

Georgia O'Keeffe
Black Door with Red, 1954
Huile sur toile, 121,9 × 213,4 cm
Chrysler Museum of Art, Norfolk, Virginie. Bequest of Walter P. Chrysler, Jr.
Image Chrysler Museum of Art, Norfolk, VA

Philippe Dagen

Critique

icon abonné« Une histoire de la philosophie », de Jürgen Habermas : à la source de la foi et de la raison

Dans son nouvel essai, le philosophe allemand montre l’étroite parenté entre religion et pensée rationnelle au cours d’une ample exploration, de l’Antiquité à la Renaissance.

Nicolas Weill

Sélection

Retour aux années 1970 : la sélection musicale du « Monde Afrique » #75

Trois compilations proposent de redécouvrir les pionniers du reggae africain, la fine fleur de l’éthiojazz et les trésors cachés du highlife ghanéen.

Fabien Mollon

Critique

On a testé… le Fairphone 4, un smartphone réparable et garanti cinq ans

Avec ses pièces facilement démontables et sa garantie plus étendue que celle de la concurrence, ce téléphone peut soulager votre bilan carbone. Un atout exceptionnel, comme la provenance de ses matériaux, en partie sourcés de façon équitable. Mais est-ce un bon outil ?

Nicolas Six

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TOPSHOT - In this aerial view, a worker lines up tubes of pomace-wood, known locally as 'birin', a flammable and eco-friendly product made from olive oil waste that can be used to heat houses during winter, at factory in the town of Armanaz, in the northwestern part of Syria's Idlib province, on October 16, 2021. The waste that remains after the olives are pressed to make oil, is gathered, shaped in to pipes, cut and then sun dried. (Photo by OMAR HAJ KADOUR / AFP)

Cet ouvrier syrien fait sécher au soleil du « birin », un combustible écologique et bon marché, fabriqué à partir de résidus d’olive après extraction de l’huile. Abu Saeed, qui supervise la fabrique située à Armanaz, dans la province d’Idlib, explique que ce produit n’était pas connu avant la guerre civile, qui a débuté il y a dix ans. Il est aujourd’hui apprécié pour se chauffer, en remplacement du diesel qui manque souvent et qui coûte cher. (Photo : Omar Haj Kadour/AFP)