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mercredi 13 janvier 2021
Parce qu’on en a besoin, parce que ça fait du bien, retrouvez, du lundi au vendredi, notre sélection d’articles pour mettre du baume au coeur.
Car le blues finira bien par nous quitter
An undated NASA/ESA Hubble Space Telescope image shows the massive galaxy cluster MACSJ 1206. NASA/ESA/G. Caminha (University of Groningen), M. Meneghetti (Observatory of Astrophysics and Space Science of Bologna), P. Natarajan (Yale University)/The CLASH team and M. Kornmesser/ESA/Hubble/Handout via REUTERS THIS IMAGE HAS BEEN SUPPLIED BY A THIRD PARTY.

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Si ça n’a pas fonctionné, et que vous n’êtes pas d’humeur à vérifier vos paramètres de perception de la réalité objective, écoutez ceci.

C’est tout, pour aujourd’hui.

Adieu, et à demain 💕

« Peut-être ne vous souvenez-vous pas de moi. Pourtant, j’ai un souvenir intact de votre capacité à tirer le meilleur de chacun. »

« Ce prof m’a dit que j’en avais les capacités, que je ferais même des études. Cette marque de confiance m’a portée pendant des années. »

Enquête

icon abonné« Cette prof a changé ma vie » : ces enseignants qui bouleversent l’orientation des élèves

Beaucoup d’anciens élèves racontent le rôle déterminant qu’a pu avoir un professeur dans leur trajectoire. Mais cette chance repose souvent sur le hasard, les enseignants étant peu formés à cet accompagnement.

Alice Raybaud

Lettre de…

icon abonnéQuand la K-Pop et les séries rapprochent Japonais et Coréens du Sud

Les films et la musique populaire venus du pays du Matin calme séduisent à nouveau le public nippon, en dépit des tensions politiques entre les deux pays.

Philippe Mesmer

Chronique

icon abonnéSOS Maïa : « Comment avouer mon fantasme à ma partenaire ? »

En ce début d’année, « La Matinale » lance un nouveau rendez-vous avec Maïa Mazaurette. Orgasme, pratiques sexuelles, complexes… Une fois par mois, notre chroniqueuse répondra à vos questions.

Maïa Mazaurette

Cela fait désormais un siècle que des gens se font couper en deux… pour les besoins de la magie

En 1921, P. T. Selbit sciait Betty Barker sur la scène d’un théâtre londonien ; un classique de la magie qui a aussi contribué à propager l’image sexiste de l’assistante glamour.

Le magicien indien Sorcar s'apprête à couper une femme en deux avec une scie mécanique au cours d'une répétition, avant son spectacle présenté au théâtre de l'Etoîle, à Paris, le 15 novembre 1955. (Photo by AFP FILES / INTERCONTINENTALE / AFP)

Lettre de…

icon abonnéNsibentum, le Congolais qui veut « décoloniser le cheveu afro »

Ce spécialiste du cheveu « afro » prêche pour revaloriser les techniques de soins traditionnelles.

Théa Ollivier

Cicatrisant, anti-inflammatoire, stimulant digestif… Toutes les vertus du miel de karité

Produit en Afrique de l’Ouest, ce miel au goût puissant et aux multiples vertus thérapeutiques est de plus en plus recherché.

Carole Tawema_directrice et fondatrice de Karethic_et Dieudonné_coordinateur de production de Karethic avec mascotte Karethic

Jean-Michel Normand

Sélection

icon abonnéBesoin d’iode ? Cinq recettes de la mer faciles à réaliser

Pressé d’araignée aux agrumes, tacos de rouget barbet, coquilles Saint-Jacques snackées… après les agapes de fin d’année, voici cinq façons de renouer avec un peu de (goûteuse) légèreté.

Coquilles Saint-Jacques snackées au beurre et velouté de chou-fleur.

Elvire von Bardeleben

Ecrivez-nous

Vous avez des idées, des suggestions pour s’échapper de cette période de grisaille et d’anxiété ? Ou tout simplement envie de partager vos impressions et sentiments sur le (re)confinement. Ecrivez-nous à l’adresse filgood@lemonde.fr

"Quelques-uns le demeurent" - Alexandre Fandard / Work 2018 "In Quelques-uns le demeurent Alexandre Fandard explores the radical otherness that lives in each of us. Inspired by the quote from Samuel Beckett, “We are all born crazy. Some remains so”, this poetic piece is an exploration of the physical body through psychological madness. The choreographer reveals a single man engaged in a bizarre fight. What does it tell us? Is it perhaps under the grip of a force that kills the words and torments them? Or is he simply crazy? Awarded by 3 international prices, Quelques-uns le demeurent is the first choreographic work by Alexandre Fandard who here investigates a radical alterity, inherent in each of us. Paradox inscribed in a body that uproots itself from nothing before being sucked into it. In the depth of darkness, on the border between reason and madness, while the body struggles, creation is born." 1ER PRIX CONCOURS TRAJECTOIRE - ST-ETIENNE 1ER PRIX FESTIVAL CORTOINDANCA - ITALIE 2ÈME PRIX FESTIVAL 10 SENTIDOS - ESPAGNE LAURÉAT DU DISPOSITIF FORTE 2018 (Ile de France) SOUTIENS & COPRODUCTIONS - LE 104 - L’ÉTOILE DU NORD - Dispositif FoRTE 2018 - DRAC ÎLE DE FRANCE 2018 - Théâtre l'Etoile du Nord - TREMPLIN - RÉSEAU BRETAGNE - CAFÉ DE LAS ARTES - ESPAGNE Chorégraphie et interprétation : Alexandre Fandard Assistante à la mise en scène - Regard extérieur : Mélina Lakehal Création lumières : Alexandre Fandard & Mélina Lakehal Création sonore : Noël Rasendrason & Alexandre Fandard Costumes : Gwendolyn Boudon

Le chorégraphe contemporain Alexandre Fandard, 31 ans, est au travail sur la scène du théâtre de L’Etoile du Nord, où il est en résidence depuis 2017. Sur cette photo le danseur évolue dans « Quelques-uns le demeurent » , au Centquatre, à Paris. En 2017, il y explorait l’altérité radicale qui vit en chacun de nous. Inspirée par la citation de Samuel Beckett « Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent » (En attendant Godot), cette pièce poétique est une exploration du corps par la folie. Cette année, Alexandre Fandard travaille sur sa troisième pièce, un solo intitulé Comme un symbole. Son thème ? La figure du banlieusard. Pour en savoir plus sur lui et son travail, rendez-vous ici.